Un soir, une robe noire, des talons hauts en cuir, ton regard baissé....

Te voilà, à mes pieds, implorants mes doux sévices de tes yeux, tes bras dans le dos, tes genoux au sol, ton cou nu attendant la douce étreinte de la longe que Je te passe.

J'aime te voir ainsi, soumis et fier.

D'un geste, Je me baisse pour fixer un bandeau en soie sur tes yeux, ne penses pas que ma position soit naïve, J'attrape donc aussi ma cravache qui traine négligement dans ton appartement.

Alors, doucement Je commence à apposer Mes marques sur tes fesses, ton dos, tirant la longe pour te faire plier à quattres pattes.

Tu fais trop de bruits, Je décide de passer le baillon  pour les atténuer.

Me tenant maintenant assise dans ton canapé, Je te fait ôter mes chaussures et prends ta tête, J'y accroche mes doigts dans tes cheveux, plaçant ainsi ton visage prêt de ma cuisse.

Je veux tester ton endurance à la bougie, je sais que ce n'est pas ce dont tu raffoles le plus, mais ce soir c'est différent, un nouveau lieu.

Je remarque comme tu m'as bien accueuilli , il a quelques minutes, tu as pris soin de mettre des petites bougies sur la table basse, Je saisie l'occasion de cette flamme pour alllumer Ma bougie blanche, et laisser couler ces petites gouttes chaudes sur ton dos ... Je prends quelques secondes pour faire des photos, ces souvenirs ainsi gravés, rappelerons à nos yeux tout ces sentiments fixés.

Comme tu es docile ce soir, tu te cambres, je sens que tu aimerais que J'arrête mais pourtant tu résistes à me stopper, Je te ferais plaisir tout à l'heure pour te montrer ma gratitude.

Sa suffit, passons à des jeux que tu apprécies bien plus.

Des cannes anglaises en guise de humbler, tes couilles serrées ainsi, il ne Me reste plus qu'à actionner les vibrations du lapin sur ton gland déjà bien trempé.

Tu te tortilles, je sais que tu n'en peux plus, pourtant Je m'amuse de ton état actuel, baisse doucement le bandeau de tes yeux pour que tu vois l'expression des Miens puis le remet aussi vite.

Ma laisse se tend, Je me léve, te forçant à me suivre à quattres pattes jusqu'au lit.

Fini les jeux softs, Je t'ordonne de t'allonger, le humbler ensserrant toujours tes parties intimes.

Je le défait, passe un préservatif sur ta queue, et pour la toute premiére fois depuis ces longs mois, je fait de toi un jouet sexuel , conditionné à me servir sans broncher.

Aprés quelques interminables minutes, Je te met en levrette sur ton matelas, qui d'ailleurs à l'air confortable, et décide de te montrer que mon déhanché peut être comparable à un homme.

Je met donc ma ceinture gode aprés avoir correctement lubrifié ton petit cul, et te l'enfile en suivant.

Impossible le temps que durerons ces moments, lorsque Je décide de sortir de ma transe, Je m'apperçois que le temps à filer avec ces heures intimes. J'arrête donc et Me place à côté de toi sur ton matelas, pour te masturber de façon correcte, là encore tu M'étonnes, aprés tout cela, tu arrives à te contrôler, tu caresses pourtant mon sexe humide.

J'ai décidée de te rendre fou, de te laisser des souvenirs partout, de faire en sorte que ta nuit soit parsemée de rêves.

Mon téléphonne sonne, il est déjà tard, je libére la longe qui te relier à Moi, me rhabille, Nous échangeons quelques mots, et Tu me racompagnes à ma voiture. Je t'embrasse et file ...

Je sais que ces mots de ma part, te ferons rougir , et sache que J'ai bien imaginer cela en les écrivants.

Au détour d'un dialogue, nos idées nous ont rassemblées toutes les deux, bien que loin , nous sommes déjà amies, sans même un contact , alors que tu écrives en pensant à moi, cela me fait ultra chaud au coeur ma Douce Sadique.

Voilà pourquoi, je me dois de te rendre cet hommage ici, et à ce moment précis, cela est la continuité de tous nos échanges, de nos moments de rires et de sérieux aussi parfois.

Voici donc l'Oeuvre de Ma "Douce" Amie Dominante  :

"Celle qui sait!
Un jour elle se réveille d'un long sommeil au bois vanille. Elle découvre, doucement, qui elle est. Cette ombre, cachée depuis si longtemps, dans les tréfonds de son âme, décide d'apparaitre, au grand jour secret. Elle devient désormais, celle qui sait!

Celle qui sait susciter l'attente de l'inconnu, qui détruit les dernières armes de son soumis, pour le voir l'implorer à genoux , sans regard ajouté.

Celle qui sait, prendre un gant de velours dans la main gauche, et caresser l'échine de sa chienne. Et de la main droite, faire claquer la talentueuse cravache.

Celle qui sait exprimer sur la peau de son soumis, la douce violence d'une paume qui s'abat sur son intimité.

Celle qui sait nouer cette corde, à ses poignets, et les attacher aux barreaux du lit. Mais aussi, accrocher ces liens à ses chevilles pour les abouter au pied de la couche , témoin de ce sacrifice.

Celle qui sait, qu'un soumis ainsi offert à sa domina, sera l'expression vivante de son plaisir personnel.

Celle qui sait plonger dans le noir, l'esprit torturé de son soumis, en lui bandant les yeux, et ainsi décupler ses attentes d'épanouissement.

Celle qui sait prendre le martinet, petit instrument de langues de cuir, qui d'un geste divin, viennent lécher la peau de ces cuisses ouvertes.
Il trésaille, il vibre, il aime profondément sa maitresse.

Celle qui sait donner , dans sa grande bonté, de l'attention et du temps, à cette larve domptée.
Lui, dans sa dévotion totale, lui donne de ses cris, tous les remerciements imaginables.

L'union de celle qui sait, et de celui qui se soumet, est la plus belle chose au monde.
merci pour votre lecture. "