Puis cela s'arrête, la délivrance d'un moment,

La froideur d'une lame de couteau te sors de ta bulle, et tu reviens peu à peu dans le monde réel.La cire maintenant froide se dérobe et laisse ta peau plus libre.

Une autre main, viens caresser ton anus, doucement apportant avec elle une noisette de lubrifiant. Tu sens un doigt s'inséré en toi, puis de plus en plus brusquement, tu te sens t'ouvrir à ses délices.

Tu es là, chienne offerte et bientôt ouverte.

Encore ses murmures dans ton dos, le bruit de deux chaises derrière toi, qui sont les personnes qui te regarde ainsi, un sentiment de honte t'envahis et parrallélelement, cela t'excites.

Ta queue commence à mouiller abondament, la Maîtresse que tu connais finit par le remarquer et l'énoncer tout haut. Deux éclats de rires. Un féminin , l'autre pas.

Le choc, c'est donc un homme avec Elle. Qu'a t'elle prévue? Qui est-il? Que vas tu devenir? Autant de question qui se bousculent en quelques secondes.

Tu sens des doigts attrapant ton sexe, ils sont rugueux et froids. Aucun doute sur la main qui te tient, c'est l'homme. Il s'amuse de la situation, te masturbant, tu ne souhaites pas bander et pourtant, ta tête voudrait commander mais ton corps imprime une autre mélodie. Cela te plait, lutte acharnée entre la raison et la passion.

Quatres Mains sur toi, se balladant de ton sexe à tes couilles et de ses dernières à ton cul encore sérré. Puis une chose entre, finement, insidieusement entre tes fesses. C'est plutôt souple mais la situation t'empêche de réfléchir, d'un coup tu sens une pression, ça gonfle. Qu'est ce dont ? Un ballon de dilatation trés certainement. Tu le sens gonfler, tu n'en peux plus, tu gémis et te débats. Puis un pchit, et il se dégonfle, entre alors en action un gode, un dont tu connais la forme, c'est ta Maîtresse qui s'est équipée de sa ceinture. S'en suit un nombre de va-et-viens qui te porte au précipice de l'orgasme, parfois lentement, parfois rapidement.

Elle sors. Le temps que tu respires un coup, et là, une sensation nouvelle inconnue. L'homme. Tu es ainsi, offerte, il n'a aucun mal à prendre ce qu'il est venu chercher, son plaisir. C'est à présent la tempête dans ta tête, entre cette envie de laisser aller et cette honte d'aimer cela, tu es perdu, tu n'as plus qu'à subir, étant solidement arnaché sur ce lit.

Le temps se fige, il te prends, Elle aussi, ils sont tout deux dans un ballet où tu es l'acteur principal.

Tu finiras par jouir, laissant tes couilles se vider, ce moment restera à jamais gravé, Elle t'a fait naître ainsi, et selon Sa volonté tu es devenue l'image qu'Elle avait vue en toi.

Fin