Réelle ou imaginaire, histoire contée...

Il était là, la démarche peu assurée dans son accoutrement d'infirmier.

Il avait dû user de stratagémes pour couvrir sa poitrine avec un manteau lequel dissimulé un joli soutien gorge et des prothéses mamaires de grande taille.Il se présentait ainsi sur ordre, avec une satisfaction personnelle d'avoir rempli sa mission.

Ce sentiment d'être chienne avant même que son corps fût l'objet et le théatre de jeux ou il ne contrôlerais plus rien.

Elle savait jouer avec ses envies, prononcer les bons mots, instiller en lui des envies qu'il gardait en latence. Il se donnait coeur, corps et âme à Elle. Elle ne le disait jamais, mais était fiére de lui, de son implication, de son attachement.

Elle le pris par la main. 

Les jeux furent ouverts quand Elle entrepris de le déshabiller en partie pour voir ce qu'il dissimuler. Aussitôt attaché par les poignets, il était sa proie, son terrain de jeux, son jouet. Elle fit en sorte de le suspendre sur la pointe des pieds, afin qu'il ne conserve pas totalement son équilibre, et entreprit de rougir ses fesses.

Le souffle strident du fouet armé, l'impact sur ses fesses, les gémissements à chaque coups et la sensation de chaleur qui se diffusait sur ses fesses en feu.

Il ne bougeais pas, trop heureux d'être punis pour les jolies yeux de La belle. Elle le regardais par moments droit dans les yeux, afin de l'encourager et qu'il perçoivent le plaisir équivoque qu'Elle en retirait. Puis vint les cravaches et leurs morsures puissantes et séches, sur ses fesses déjà irradiés de rouge.

 Puis Elle le détacha, il se mit à Ses pieds, les embrassant tendrement, avec application, elle le pris au collier et y accrochant la laisse le reliant à Son poignet, Elle le promena jusqu'au lit.

Là , couché sur le dos, attaché aux 4 extrémités, bien fermement, il n'avait aucune échappatoire. Il entendit entre deux notes de musique un briquet allumé une bougie, il savait qu'Elle allait jouer avec ses sens, la chaleur de la cire allait réchauffer son torse. Elle s'assit à califourchon, le maintenant à la taille en plus des contraintes.

  Plus il criant et se débattait, plus le sadisme qui émmanait d'Elle se faisait fort. Elle arrêta quand Elle décréta qu'il était temps de passer à d'autres jeux.Il la remercia pour ses douces tortures, dont il se rapellerait dans ses nuits et ses rêves.

Immobile, il était privé de toutes libertés, et offert entiérement, que se soit son sexe ou son cul, Elle se servirait des deux, pour faire bouillir son sang, et même s'il aimait tout cela, il ne savait jamais dans quel sens le vent allait tourner entre plaisir et torture...

Elle entrepris une masturbation, lui crachant sur le sexe, pour y ajouter un peu de salive, et donner le tempo à Ses envies, il brûlait de désirs, une envie animale de se laissait aller, mais il devait se retenir, ne pas s'avouer faible.

Au fur et à mesure qu'il succombait, l'instinct animal de La belle s'animait.

Ensuite Elle éffleura ses cuisses, son anus, puis y mit du lubrifiant. Ses doigts prirent le chemin humide qui s'offrait à Elle, et Elle se saisit d'une ceinture passée à Sa taille afin de s'insérée au creux de Sa victime. 

Dans l'insouciance de ce moment, il se laissait aller, son esprit avait quitté terre pour un autre univers, Elle savait donner des étincelles scintillantes pour qu'il se laissent aller comme bon lui semblait,et Elle aimait qu'il soit totalement ailleurs.

Elle était du genre que l'on ne peut oublier, de Celle qui hante les rêves, les nuits, de longues années aprés la fin de ses jeux...

Réelle ou imaginaire, histoire contée ...

Ils jouaient ensemble depuis longtemps à ce jeu de messages interposés. Elle savait tout de lui, vu qu'il n'essayait plus de cacher ses secrets, il avait abandonné cela depuis des années.

Elle lui avait ordonné de se faire un plaisir solitaire lors d'un repas dans sa belle famille, caché dans les wc . Il n'avait donc que peu de temps.

Il se mit à rêvasser de plaisirs forcés, de sentiments BDSM, il avait honte de son attirance pour ses femmes membrées fortement comme des hommes, les shemales, et même lui, ne pouvait résister et se retenir à la vue de leurs corps courbés magnifiquement.

Cependant rien n'allait se passer comme prévu. Il avait pris sur lui un gant en latex ainsi qu'un petit sachet de créme sur ordre édicté plus tôt dans la journée.

Alors qu'il enfilait le gant, il avait déjà une forte érection, il étala la créme en douceur, sur l'ensemble de sa queue et de ses couilles. Puis vient une douce sensation de chaleur, qui se transforma vite en brûlure.

Son érection s'estompa instantanément et la douleur fût si vive, qu'il eu peine à trouver la salle de bain pour se nettoyer. Il était déçu, de n'avoir pas réaliser l'ordre donné, et d'avoir perdu une chance de se faire plaisir, ce qu'Elle le lui ordonnait que rarement.

Il était honteux et rouge écarlate en regagnant la salle à manger. Personne pourtant ne sembla le remarquer. Ainsi il allait passer un mauvais moment, le gel brûlait encore ses couilles et son gland, il n'avait pas pû tout ôter. De longues heures interminables avant de rentrer chez lui, assis bien sagement autour d'une table où personne ne savait ce qui lui arrivait.

Enfin ce fût la délivrance, la douche, et son eau bénéfique qui lui apporta un soulagement immédiat.

Une question restait cependant, pourquoi ses brûlures? Dans la hâte, il avait remis sont gant et son sachet dans sa poche de pantalon, il regarda donc : Menthol.

Il s'était tout bonnement trompé de sachet.

Il avoua son imbécilité, tout penaud un peu plus tard dans la soirée, elle ne pu retenir un fou rire. Lui disant qu'il était un magnifique boulet !