Faits réels ou imaginaires l'histoire ne le dira pas .

Ils se connaissaient bien, lui se dévoué à chacun de ses mots, Elle savait en profiter.

Ce soir là, il la contacta, Elle répondit quelques mots, Elle désirait le voir.

Son ton était volontairement brut, Elle voulait jouer.

Lui s'éxécutant comme à son habitude, alluma la cam, et s'exposa au regard de Sa Maîtresse.

Elle admirait le spectacle, le regardait, écarquiller les yeux et se mordit la lèvre.

Son corps , sa chair, son sang, son érection, il savait qu'elle appréciée et jouait de son pouvoir de séduction.

L'emprise du désir se dessiner à présent.

Elle testa, autorisant un temps qu'il se fasse plaisir puis stoppant net les gestes de ce jeune homme.

Le voir ainsi à l'affût finit de réveiller en Elle son esprit sadique, il voulait jouer , Elle allait s'en délecter, Elle le savait il ne se rebellerait pas.

Il était dans un état second, de fines goutellettes trahissait son excitation, poussé à son paroxisme Elle voulait le posséder.

Cela ne se résumait pas à une banale attirance sexuelle ou a une affaire de libido, l'enjeu était bien plus intéréssant.

Pour faire redescendre un temps cette surexcitation, Elle lui ordonna d'aller sous la douche.

Elle savait qu'il ne vivait pas seul et que le danger qu'une personne ouvre la porte et le découvre ainsi était réel. C'est justement ce qu'il lui plaisait, le poussait dans ses retranchements.

Elle lui ordonna qu'il se masturbe, Elle etait fascinée par son visage pouvant y lire à la fois le plaisir et la douleur, l'appréhension et l'excitation. Elle cachait comme Elle pouvait la chaleur qui montait en Elle, elle fondait en regardant ce divertissement.

L'eau ruisselait sur son corps, long et dur, il était pareil à un symbole de fertilité des temps anciens.Des frissons le parcourait, chaques cellules de son corps étaient en attente d'un mot de Celle dont il rêvait nuits aprés nuits. Il n'etait plus qu'un jouet, son esprit perdait pied.

Brusquement pourtant, la porte s'ouvrit, Elle vit la gêne ultime sur le visage du doux apollon, lu sur ses lévres un balbutiement inaudible. Il était affolé, un rouge écarlate sur ses joues. Puis écran noir. Arrêt sur image.

Il revint quelques ( longues) minutes plus tard.

Confus, encore gêné il tentait de retrouver ses esprits. Il s'était fait surprendre ainsi dans le plus simple appareil , la queue bien raide sans moyen de dissimuler son envie.

Elle savourait sa victoire, aimant le voir passer d'un état à l'autre.

Ils parlérent briévement, lui toujours dans un état de transe, Elle était fiére d'elle.

Elle souria encore une fois quand il vient lui raconter sa confusion au lendemain de cet incident.

Définitivement il était fait pour Elle, Elle voyait beaucoup de choses en lui,peut être en serait-il lui aussi persuadé un jour ? 

Comme Je m'imagine t'ordonner d'écrire mes mots, une dictée improvisée pour avoir de bonnes excuses à voir tes fesses rougir sous Ma cravache.

Moi droite, bien assise sur Ma Chaise, toi, face à Moi, les yeux baissés, prêt à écrire, à l'affût des moindres sons émis.

Je commence à lire :

"Il se tenait là, devant sa Reine, nu, à genoux, il la salua, lui lécha délicatement cette main qu'elle lui tendai.Il sentait monter le désir en lui, il avait envie de connaître le plaisir de n'être plus personne, de la rendre fière de lui, de voir ses yeux sadiques emplis de plaisir. Max la voyais pour la premiére fois, il ne savait pas à quoi s'attendre ni où serait la folle limite de cette Maîtresse.

Ils n'avaient pas beaucoup parlé, il ne savait d'Elle que quelques détails, son âge et ses désirs. Elle avait pourtant réussi à attiser sa curiosité, par ces quelques mots secs, il sentait qu'il n'était rien, il voulait être cette marionnette dans Ses Mains."

Je devine, sous la table, ton exitation, ce jeu qui te déplaisait au départ semble enfin t'amuser. Un rapide coup d'oeil, je devine déjà une grosse dizaines de fautes à corriger... Un plaisir certain pour ma cravache tout à l'heure... bon continuons, je ne me lasse pas de te voir ainsi à ma merci.

"Maîtresse Ysaïs était une femme sensuelle, grande, qui savait jouer de ses attouts. Elle était face à lui, d'une féminitée toute puissante, ses petits pieds plantés dans des cuissardes en vinyl, lui ne voyant que son ombre miroitée dedans.

Elle était belle, il devinait le reste de sa tenue, n'osant pas levés les yeux. Il était nu comme un ver, aucun vêtement derrière lequel se cacher."

Le décor est planté, tu commences à être bien excité sur ta chaise, Je devienne à présent ton angoisse, plus les mots pleuvent, plus les coups risquent d'être nombreux... Mais Je sais que tu attends la suite, connaître la fin de cette histoire que J'invente pour nous.

"Maîtresse Ysaïs avait saisie un collier, qu'elle passa au cou de Max, lui ne pouvant plus cacher ses sentiments et son érection. Elle y accrocha une laisse, obligeant Max à se relever. D'une main douce et ferme, elle avait saisie son organe bandant, et y fit glisser ses ongles jusqu'à la base du gland, Max n'en pouvais plus. Ysaïs pris une corde, la noua autour des testicules de son jouet, et serra, serra tellement fort qu'il en eu le souffle court. Ce humbler improvisé excita encore plus ce pauvre Max qui avait déjà du mal à se contenir. Elle se mit sur la pointe des pieds, une main dans les cheveux de cet homme, elle s'approcha de son oreille et lui sussura qu'il n'aurai rien de plus aujourdhui. Ces quelques mots, déclenchèrent une tempête en lui, sa queue humide toujours dans la puissante main de sa Maîtresse, il ne put se tenir plus longtemps et laissa couler tout son jus entre les doigts d'Ysaïs. Elle entra alors dans une colére noire, Elle n'avais pas ordonnée cela, et il devait être puni. Elle s'essuya  délicatement dans les vêtements de Max, pour qu'il ai un souvenir cuisant en partant de chez Elle. Ainsi débarassée de ce liquide brûlant, Elle saisie sa cravache, arma son bras et laissa déferler sa colére, les coups tombérent en pluie copieuse. Quand Elle eue enfin finie, Elle lui ordonna de se rhabiller et le mit dehors."

Fin de l'histoire, Je vois à ton regard qu'à présent les coups que tu pourrais recevoir ne te dérange plus...

Je prend ta feuille corrige habillement les fautes en comptant au fur et à mesure le nombre de coups de punitions que tu vas recevoir, et malgré tout, je devine une certaine tension érotique dans la pièce.

25 ... 25 fautes, 25 coups sur tes fesses bien fermes...

Sans protester, tu te mets à quattres pattes et tu attends.

1, 2, 3 Je t'entend compter, J'aime ta voix tremblante, 23, 24, 25.