Ce jour à pour moi plusieurs significations, la plus directe bien sûr est celle des droits communs. 

Les générations passées de sont battues pour obtenir les droits que nous avons en France.

En dehors de l'aspect sociétal, financier ou du travail, nous ne devrions pas nous plaindre.

Dans le cadre de ma vie  Maîtresse, Je suis toujours traitée comme une Reine. Alors ce jour, dans ma vie BDSM n'a pas lieu d'être. . .

Continuez donc à me vénérer chaque jour que nous passons ensemble.

Que j'aime ce mot, il est droit, cinglant, fait trembler notre mémoire, nous rapelles que l'on à commis une faute...

L'esprit va envisager une gifle, une mise au coin, une lassive écriture de ligne ou tout au plus une féssée ou une volée de coups de martinet dont il se souviendra de l'enfance.

Le vanille  verra simplement dans ce mot une note enfantine, alors que le chocolat ( par opposition) y verra un fantasme,  fruit de son imagination, à fort pouvoir érotique et sexuel.

Alors la punition à de multiples facettes basées sur le physique ou le mental.

Chez un Masochiste porter un coup ( cravache, fouet , cannes) est perçue comme un signe d'affection, une récompense, loin de ce que doit être une punition.

Chez un soumis peut confiant en lui, un suffira simplement de ne plus lui porter d'intêret, un long silence est une torture de l'esprit.

Chez un soumis "douillet" un coup ou plusieurs feront l'affaire.

Offrir son pied à un non fétishiste peut aussi être considéré par lui comme une punition, au même titre pour d'autres qu'une frustration de plusieurs jours, une mise en cage ou même une mise au piquet.

Mais pour ma part, j'use d'une petite et innofensive boîte à punitions...

Méfiez vous quand même les coupons-gages qu'elle contient sont fruit de mon imagnination ( débordante), et elle peut donc se faire piquante, deplus je laisse le soin à la personne fautive de choisir elle même le papier où est noté sa sentence et la lire à haute voix.

Ainsi elle est à la fois cérébrale et physique.

Alors faut t'il craindre une de mes punitions ?

Pas vraiment, il suffit simplement d'obéïr correctement....

Au détour d'un dialogue, nos idées nous ont rassemblées toutes les deux, bien que loin , nous sommes déjà amies, sans même un contact , alors que tu écrives en pensant à moi, cela me fait ultra chaud au coeur ma Douce Sadique.

Voilà pourquoi, je me dois de te rendre cet hommage ici, et à ce moment précis, cela est la continuité de tous nos échanges, de nos moments de rires et de sérieux aussi parfois.

Voici donc l'Oeuvre de Ma "Douce" Amie Dominante  :

"Celle qui sait!
Un jour elle se réveille d'un long sommeil au bois vanille. Elle découvre, doucement, qui elle est. Cette ombre, cachée depuis si longtemps, dans les tréfonds de son âme, décide d'apparaitre, au grand jour secret. Elle devient désormais, celle qui sait!

Celle qui sait susciter l'attente de l'inconnu, qui détruit les dernières armes de son soumis, pour le voir l'implorer à genoux , sans regard ajouté.

Celle qui sait, prendre un gant de velours dans la main gauche, et caresser l'échine de sa chienne. Et de la main droite, faire claquer la talentueuse cravache.

Celle qui sait exprimer sur la peau de son soumis, la douce violence d'une paume qui s'abat sur son intimité.

Celle qui sait nouer cette corde, à ses poignets, et les attacher aux barreaux du lit. Mais aussi, accrocher ces liens à ses chevilles pour les abouter au pied de la couche , témoin de ce sacrifice.

Celle qui sait, qu'un soumis ainsi offert à sa domina, sera l'expression vivante de son plaisir personnel.

Celle qui sait plonger dans le noir, l'esprit torturé de son soumis, en lui bandant les yeux, et ainsi décupler ses attentes d'épanouissement.

Celle qui sait prendre le martinet, petit instrument de langues de cuir, qui d'un geste divin, viennent lécher la peau de ces cuisses ouvertes.
Il trésaille, il vibre, il aime profondément sa maitresse.

Celle qui sait donner , dans sa grande bonté, de l'attention et du temps, à cette larve domptée.
Lui, dans sa dévotion totale, lui donne de ses cris, tous les remerciements imaginables.

L'union de celle qui sait, et de celui qui se soumet, est la plus belle chose au monde.
merci pour votre lecture. "